Pour résumer, j’ai commencé à faire du streetart en 2015 avec des collages, et les encouragements de mon ami clarsix. Ensuite, en 2018, je commençais à fréquenter de plus en plus d’artistes de rue et j’ai voulu me mettre à la bombe. Les premières sessions c’était avec Coralie, qui avait dejà utilisé la bombe, mais par sur des murs. Ensuite, je me suis joint au groupe impulsé par Thiago et Naga dans lequel participaient aussi Coco, Jacqueline et ponctuellement d’autres comme Zone de Confort, Souljahdom, Ozana, Zetarone, Nina Missir, Momo, etc.
Growing together, helping each other
Je suis venu à quelques sessions avant, mais c’est surtout après le confinement que j’ai commencé à être assidu, par soif de retrouver des copains avec qui on partage la même passion et d’être au grand air. Et puis l’envie de faire des fleurs de plus en plus grandes. On a fait quelques sessions sous le pont de la coulée verte, à la courrouze, au parking du colombier, sur des murs autorisés. On est allé ensemble à Dédale et on a pu faire des peintures murales à l’étage. On est allé ensemble au collège fou fou fou à St Georges de Reintembault. L’énergie de ces moments est inoubliable.
Trouver un style par la pratique
Le fait d’être avec les autres m’a vraiment aidé à prendre confiance, à progresser avec les conseils, les critiques, le partage de matériel. Les premières fois, je mettais la journée entière à faire 2 m2 puis j’ai osé faire un pilier de pont entier (24m2). Ensuite, j’ai décidé de me motiver même les dimanches où les autres ne voulaient ou ne pouvaient pas et je crois que seule la pratique régulière m’a permis de progresser techniquement, d’acquérir une sensibilité quant aux proportions et au maniement de l’aérosol.
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